Une somme plutôt coquette, même pour le géant de Redmond.
Ok, c’est seulement la première étape, ils iront en appel.
Microsoft a toujours été un chaud partisan des brevets logiciels en Europe (en particulier au travers du financement de la BSA). Peut-être qu’ils vont y réfléchir à deux fois maintenant.
Même s’ils arrivent à régler le cas pour une somme raisonnable, combien de temps faudra-t’il avant qu’ils prennent un coup fatal ?
Combien d’autres avant que les gens ne comprennent que les brevets logiciels transforment le monde des affaires en un champ de mines où les risques sont ingérables ?
Et, comme dans n’importe quel champ de mines, tout le monde souffre, personne ne gagne.